(Photos Kata)
Le Père Noël était en avance cette année puisque c'est le 3 décembre que Woody Bollocks et Fil Ze Loom sont descendus du ciel avec dans leur hotte tout plein de chansons drôlement bien : des trucs des Beatles, des Rolling Stones, des Who, de David Bowie, de Beau Dommage, de Neil Young, de Pink Floyd, des Innocents... enfin bref de la chanson à base de guitares acoustiques et d'harmonies vocales. Sans oublier les chansonnettes de nos deux compères, des trucs comme "Poète & HLM", "L'Os", "She said", que sais-je encore ? Avec la participation experte et amicale de mister Jeannot aux décors vidéo.
Un grand merci à Nicolas Tchernenko (musique) et à Mister Jeannot (images) pour avoir permis à Woody et Fil de frimer comme des gorets en entrant sur la prestigieuse scène du Cactus (écouter et voir ci-dessous).
Photos Kata, Marco, Mister Jeannot.
Avec Stéphane, le patron de bar le plus sympa à l’ouest du Mississipi, la soirée promettait d’être chaleureuse. Et elle le fut. Màm et les Piggies (sans oublier les Piggettes, choristes officiels de MàM) ont encore passé un super moment face à un public vraiment sympa, attentif et enthousiaste. Merci à tous pour votre présence et vos nombreux encouragements (merci Kata pour les photos).
Encore plus de photos en cliquant ici (merci Katy).
Les Piggies remercient Farandol, Jean-Yves son président, et tous ceux qui nous ont fait le plaisir de rester nous écouter ce 19 juin à Dol-de-Bretagne. Nous ne connaissions pas la Fête des musiques de Dol mais faites-nous confiance : ça vaut le détour !
À Dompierre-du-Chemin, qu’il vente et pleuve, comme en 2009, ou qu’il fasse un temps caniculaire comme ce 5 juin 2010, les soirées sont toujours chaudes. Celle-ci n’aura pas failli ! C’est le pharmacien du village qui, pour peu qu’il ait fait provision d’aspirine, a dû faire ses choux gras le lendemain… Mention spéciale à la première montée sur scène d’un quatuor qu’on reverra sans doute : MàM accompagné aux chœurs sur quelques chansons par Woody Bollocks & Fil Ze Loom. Du grand Mendès, comme diraient les immenses Poqui-Poqua ! Bravo itou à Sahm Sakara, groupe de Tours qui, pour sa troisième prestation seulement, a achevé de mettre le feu à Dompierre !
(Photos Katy, Kata, Marco, Jeannot et Fil. Cliquer sur les images pour les agrandir)
Novembre 2009, un samedi soir sur la Terre, profitant de ce que les Piggies ne se produisent ni ne répètent, Woody & Fil déboulent sans prévenir au Coquelicot de Fougères, accompagnés de leur guitare acoustique. Pas de son mais quelques images, prises par un photographe sympa présent ce soir-là.
11/4/2009 – Woody, John et Fil connaissent bien le Coquelicot de Fougères pour y avoir joué plusieurs fois du temps de Goret, groupe archi mythique de sa race. Cette fois, Patrick avait invité les Piggies pour un apéro rock. Chanson du jour : une reprise, Vertige de l’amour, en hommage à Alain Bashung, décédé quelques semaines auparavant.
6/2/2009 - À l’équipe du V&B, accueillante et décontractée, au public venu nombreux, de plus ou moins loin dans l’espace et le temps, à tous les amis présents, à Philippe et Jeannot, photographes de la soirée, les Piggies disent merci pour cette soirée qui restera un excellent souvenir et qui, c’est l’ardent désir de John, Arthur, Woody et Fil, en annonce d’autres aussi réussies.
En guise de témoignage, deux diaporamas dont un, le deuxième, réalisé par notre vieux pote Jeannot, est surtout un clin d’oeil à Woody et Fil et à l’époque Goret.
6/12/2008 – Après une première partie chanson française (accordéeon, guitare et chant) donnée par Bric à Brac, un groupe très sympa, transfuge des Vieilles Margattes et de Embargo, les Piggies ont étrenné ce soir-là au Chum Rock Pub de Saint-Aubin-du-Cormier leur final rock Ohio (chanson de Neil Young sur le massacre de quatre étudiants par l’armée américaine en 1970). À ce propos, et avant le petit diaporama habituel, voici quelques petits bonus pour mieux apprécier Ohio : - un rappel historique : quatre étudiants furent abattus par l'armée américaine sur le campus de Kent state dans l'Ohio, le 4 mai 1970. Un mouvement de protestation très virulent venait de débuter sur ce campus (entre autres), contre la décision de Richard Nixon de lancer une offensive armée avec le Sud-Vietnam contre le Cambodge, - un film super 8 tourné la veille du massacre sur le campus de l'université de Kent State, - un excellent petit film sur l'origine et l'intervention du massacre, - que crie David crosby à la fin du morceau ? "Four, why ? why did they die ?" et "How many more ?" - un texte sur les paroles de la chanson et les conditions dans lesquelles elle a été écrite et enregistrée (avec une excellente rubrique "liens").
11/10/2008 - « Faites gaffe, les vieux, c'est la canicule sur scène ! » Voilà comment les Piggies ont été accueillis sur la scène de la salle des fêtes de Saint-Brice-en-Coglès par le facétieux guitariste des Vieilles Margattes qui faisait allusion à la chaleur des projecteurs et au fait que les lieux n'étaient pas équipés en climatiseurs. Après avoir intimé l'ordre à l'insolent d'aller ranger sa chambre et de se mettre en pyjama, nos amis ont branché le matos, réaccordé les guitares, attendu que John Ferguson ait soulagé sa prostate et... vécu tous les quatre leur deuxième concert en prenant un panard de tous les diables.
Mention spéciale à Embargo (excellent groupe rock, deux guitaristes chanteurs ultra pêchus et amoureux des belles mélodies et un jeune batteur qui défouraille son arrière-grand-mère ou j'm'y connais pas) et aux Vieilles Margattes, à leur affaire pour chauffer une salle et qui, paraît-il, jouent tantôt torse nu tantôt le tchul à l'air (là, c'était torse nu).
Un grand merci à Cécile et à toute l'asso des parents d'élèves de Saint-Brice.
Les Piggies dédient leur hymne reggae "Les animateurs de la télévision" aux malheureuses victimes du foot et de la télévision.
14/7/2008 - Pour notre premier concert, donné le 14 juillet 2008 à Dourdain, nous n'avons pas lésiné : ultime répé le 12 chez John à Dourdain, après avoir déménagé tout le matériel de Fougères et décoré le garage de John aux couleurs des Piggies, de Goret et de Hic et Nunc. C'est que le soir même, en avant-première, nous jouions dans ce même garage devant un parterre de potes, histoire de resserrer les rangs et de nous réconforter avant l'épreuve de la première scène...
Deux jours plus tard donc, redéménagement de matériel et débarquement à Dourdain, en plein concours de palets. Séquence émotion : nous avons aperçu le père Léon, propriétaire du bâtiment de ferme où nous répétions - sous le nom de Goret - 25 ans plus tôt !
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